La chambre de Isuzu

Isuzu montra un regarda satisfait

"c'est très bien continue petit sclave!"

Masataka continua de caresser les cheveux d'Isuzu et posa une question indiscrète.

"Heu j'ai une question un peu indicrète maitresse Isuzu...Quel type d'homme aimez-vous ?"

Isuzu se frotta la tete.

"Ca dépend mais j'aime les hommes comme...euh...toi!"

"Merci maitresse.."

Masataka devint rouge, il continua de caresser les cheveux d'isuzu.

Isuzu se jetta dans ses bras.

"Je veux pas que tu ne me laisse tombée,ca me rendrais triste que tu me laisse seule!"

Masataka serra Isuzu dans ses bras. Et sourit.

"Je suis votre esclave maitresse et vous êtes très belle..Je ne voie aucune raison de partir surtout que je ne veux pas !!"

Isuzu mit sa tete sur le tiorse de masataka

"Ton coeur bat très vite!"

Masataka rougit.

"C'est parce que je vous aime maitresse Isuzu.."

Isuzu se mit aussi a rougir

"Vous m'aimez mais on ne peut pas aimer une femme comme moi!"

Masataka serra fort Isuzu.

"Moi je vous aime en tout cas Maitresse.."

Isuzu se laissa serré.

"tu dis ca mais un jour tu me laisseras!"

Isuzu se mit a pleurée comme une petite fille

"Je suis pas toujours gentille masataka,tu comprendras vite!"

Isuzu le regarda dans les yeux et l'embrassa.

"je crois que...je...suis tombée...amoureuse de...toi!"

Masataka savoura ce doux baisé et répondi a Isuzu.

"J'était amoureux de vous, maitresse isuzu, la première fois que je vous ai vu.."

Masataka embrassa Isuzu a son tour.

Isuzu se mit a rougir très fort.

"Tu sais,je pense que je peux plus me passer de toi..."

Isuzu le serra et lui murmura a l'oreille.

"je t'aime masataka!"

"Moi aussi maitresse.."

Masataka embrassa Isuzu dans le cou et lui mordilla l'oreil doucement.

Isuzu se laissa faire par masataka qui lui fesait du bien

"masataka,pour toi,je ferais tout ...parce que je t'aime..."

"Non maitresse c'est moi qui ferait tout pour vous car je suis votre esclave."

Au son du mot esclave masataka afficha un sourrir coquin, voir très pervers.

Isuzu semblais ravie de ce que masataka venait de lui dire.

"Fais moi un calin alors masataka!C'est un ordre!"