Cabine n°5 : Occupant(s) : Maria Matsudaïra

Maria arriva en pleure dans sa cabine, qui pour le moment était occupée par sa seule personne. Elle n'avait donc personne à qui se confier et décida de directement d'aller se coucher dans son lit (toute habillée) où elle plongea sa tête dans l'oreillé. C'était une chose qu'elle faisait souvent lorsque les choses n'allait pas. Seulement, cette fois-ci il n'y avait personne pour lui dire que ça allait passer que ce n'était pas si grave!

*Plus personne ne voudra m'adresser la parole! Je me suis mise à dos la personne la plus importante... C'est fini... Papa...*

Elle resta là un moment sans bouger en repensant à ses amis, sa "famille", la décèption qu'ils lorsqu'ils apprendront la nouvelle!
Malheureusement...Elle était bien obligée de leur dire! Le boss exigeait la stricte vérité de chacun de ses "enfants", qu'elle soit bonne ou mauvaise...

Passant sa main dans sa poche, l'espionne prit délicatement son gsm et le regarda de ses yeux bleus encore humides.

*Je l'appelle? Je ne l'appelle pas? Si seulement... *

"Si je lui téléphone un peu plus tard...Il ne m'en voudra pas, non?"

Elle posa son gsm sur sa table de nuit et se remit à pleurer sur son oreiller.

Skens marchait dans les couloirs en direction de l'étage des cabines, il croisa plusieurs soldats qu'il salua bien évidement. Une fois arriver au couloir des cabines il sortit le badge et regarda les différents numéros afficher sur les portes des cabines le long du couloir. Il était à la cabine numéro vingt-cinq alors que celle de Maria était au numéro cinq. Il marcha en direction de la cabine puis s'arrêta devant la porte en regardant le badge. Il s'adossa contre le mur juste à coté de la porte et s'alluma une clope. Il fumait en pendant à se qu'il pourrait lui dire après ce dépars plutôt rapide qu'elle avait fait:

* Elle avait l'air plutôt choqué..... Que se que je vais pouvoir dire pour pas passer pour un guignol*

Il continua de fumer sa clope puis quelque minutes plus tard il l'écrasa à terre. Il appuya sur la sonnette qui était juste à droite de la porte puis dit au microphone qui y était inclus:

-Re-bonjour c'est Skens euu.......vous avez fait tomber votre badge donc je suis venu vous le rapportez mais peut être que...vous voulez être tranquille. Je repasserais plus tard si vous voulez

Il resta derrière la porte et attendit la réponse de Maria

HJ : Déso, j'avais un méga expo à faire ^^' HJ/

Maria continua de regarder son gsm sans rien dire durant un long moment jusqu'à ce que le bruit de la sonnette la fit sortir de ses pensées.
Doucement, elle se retira du lit et s'avança jusqu'au mur et appuya sur le bouton qui lui permettait de communiquer avec la personne qui se trouvait devant la porte de sa cabine.

"Maria Matsudaïra... C'est à quel sujet?"

Dit-elle en sechant ses larmes calmemant avant d'ouvrir au jeune homme.

*Lui?! Mais comment?!*

Elle le regarda sans rien dire. Le fait d'avoir une visite lui était totalement inhabituel.

"Que puis-je pour vous?"

(Il lui répond)

"C'est très gentil! Merci."

La jeune fille prit le badge qu'il lui tendait et le regarda de plus près. L'attache qui lui servait à accrocher son badge à sa veste c'était tout simplement cassé.

*C'est si bête...* Se dit-elle avant de sortir enfin de sa chambre et d'embrasser Skens sur la joue.

"Je vous devais bien ça."

Le Lieutenant était si séduisant qu'elle ne put hélas pas résister à son charme naturel, l'apport de l'objet n'était rien d'autre qu'une escuse pour lui mettre le grapin dessus.

Skens qui attendait derrière la porte vit celle-ci s'ouvrir et la jolie Maria en sortir. Il sourit à la jeune femme puis lui donna son badge avec son habituel sourire charmeur. Quand elle le remercie il lui fit un clin d'œil puis en rigolant :

-Pas d'quoi mademoiselle

Un sourire amicale apparut alors sur son visage quand Maria l'embrassa. Il la regarda de haut en bas, elle était toujours aussi charmante et il pouvait enfin lui parler librement vus sue le général et ses hommes n'étaient pas présent. Il s'adossa comma d'habitude au mur juste en face de la porte de la cabine puis la regarda et remarqua que ces joue brillaient. Il demanda alors d'une voie séduisante et inquiète:

- Vous allez bien ? On dirait que....vous avez pleuré

* Bin dit donc elle est très mignonne...*

Il la fixa de ses yeux étincellent comme des rubis

[HRP: Pas de probléme, on à tous des choses à faire En plus j'étais en week-end avec des potes donc j'me suis pas très co donc :p ]

Maria rougissa un peu (ce qui ne change pas grand chose à vrai dire) lorsqu'il lui fit remarqué qu'il était clair et net qu'elle avait pleurer. En effet, ses yeux encore humide, ainsi que ses joues en feu ne trahissaient personne.

"Un peu, oui... C'est exacte."

Elle tourna la tête rapidement vers la porte de la cabine et lui indiqua d'entrer avant d'entrer dans celle-ci en sa compagnie.
La cabine était de taille modeste, peu remplie, seule une photo du "père" et des amis de Maria prouvait l'occupation de celle-ci.

"J'ai appris une mauvaise nouvelle qui m'a un peu chamboulée, mais c'est passé maintenant. Je t'assure."

Pour lui faire comprendre que c'était bien fini, la jeune espionne baissa la tête sur le côté et refit sa petite mimique en souriant.
Malheureusement, les apparences sont trompeuses, elle n'était en aucun cas consolée, seulement... elle jouait bien la comédie!

Skens entra alors dans la cabine en suivant la jeune femme. Il l'examina elle était plus petite que la sienne et comportait moins de mobilier, cela no choqua pas Skens qui savait très bien sue avec son statue d'officier il avait une cabine supérieur aux soldats du vaisseau. Il s'adossa encore une fois comme à son habitude contre un mur puis regarda la jeune femme et dit:

-Si je peut faire quelque chose pour vous aidez n'hésiter pas

Il sourit puis enleva le colle de son uniforme qui le serrait beaucoup trop à son gout. Il mit ensuite ses mains dans ses poches puis ajouta:

- Vous n'aviez pas vraiment à avoir peur de dire se que vous pensez du Président, je ne l'aime pas spécialement non plus mais nous somme des soldats nous ne servons pas qu'un homme mais nous protégeons une nation et de nombreuses vies....Mais il vrai que dire cela devant son fils qui est le général des forces armées de ZAFT était peut être à éviter. Mais il n'est pas particulièrement rancunier surtout devant une aussi jolie filles que vous

Il rigola puis lui sourit

Maria regarda sérieusement le jeune sans l'interrompre jusqu'à-ce qu'il dise que ce n'était pas malin de dire qu'elle n'appréciait pas spécialement le président devant son fils.

"Je l'ignorai! Vraiment..." S'empressa-t-elle de dire, sans rien ajouter avant de s'adosser au mur à côté de Skens.

"En êtes-vous sur?"

Lui demanda-t-elle presque en le suppliant du regard.

"Par moment... "

*Je suis vraiment cloche*

L'espionne se tût en repensant à ce que son patron lui avait un jour révélé.

"J'ai perdu mes parents... Je ne sais donc pas ce que cela peut faire lorsqu'on entend quelqu'un les... insulter librement. Je ne pense pas que cela me ferait quelque chose personnellement."

Pour une fois, elle ne s'était pas retenue de dire la vérité, elle n'éprouvait aucun sentiment envers ses véritables parents, probablement parce qu'elle ne les connaissait pas à vrai dire.

"Cependant, j'aime une personne plus que tout au monde, et si le Général Yamato aime son père, tout comme moi j'aime mon... "

Elle se retourna apeurée vers Skens et se blôtit contre lui.

"Je n'hésiterai pas à le lui faire payer! Vous comprenez?!

Tout en se tenant contre lui, elle lui fit bien comprendre qu'elle était désormais terrorisée à l'idée que Sven puisse se changer d'elle.
Cependant, elle ne se gêna pas pour en rajouter un peu, histoire de faire de Skens sont nouveau protecteur.

Skens qui était toujours contre le mur adosser écouta les explications de de la jeune femme, cela lui faisait cruellement pensé à son père mort à causse de ce président Kira Yamato et de cette Lacus Clyne. Il fut sortit de ses pensées quand la jeune femme ce blottit contre lui. Il n'était pas vraiment timide bien au contraire cependant la jeune femme l'avait prit de court. Il ne s'attendait pas du tout à ce comportement même si cela ne le gênais pas particulièrement. Il mit un bras autour d'elle tout en gardant le second dans sa poche. Il répondit alors à son explication:

- J'ai également perdu mon père lors de la seconde guerre contre ce......

Son regard avait largement changé lui qui était particulièrement chaleureux avait maintenant un regard ténébreux qui montrait bien sa haine;

- Cette vermine de Naturel

Il reprit son regard chaleureux puis sourit à la jeune femme et dit:

- Ne vous inquiétez pas, le général Svan n'est pas une personne méchante. Je le connais depuis maintenant un bout de temps et je vous la garantie vous n'avez rien à craindre de lui et même si vous risquiez quelque chose prévenez moi

Il demanda alors intriqué par une phrase qu'elle avait dit:

- Qui est cette personne que vous aimez tant ?

Cette question était bien sur une technique pour que Skens se renseigne de la disponibilité de la jeune femme.

Tout à coup, quand Skens prononça "vermine de naturel", Maria se redressa violament et recula de deux trois pas.
Son regard devint haineux et le ton de sa voix changea radicalement.

"Les naturels... ne sont pas.. de.. la..VERMINE!"

Dit-elle choquée tout en essayant de garder son calme, sans succès.

"J'AIME UN NATUREL!"

Cria-t-elle ensuite avec rage avant de gifler le lieutenant Hunao.

Skens qui était toujours contre le mur n'avais pas très bien comprit se qui venait de se passer, il se mangea la gifle de plein fouet puis la fixa avec un regard neutre. Il mit la mains qui tenait Maria dans sa poche puis continua de la regarder avant de dire d'une voie complétement neutre qui ne lui ressemblait pas:

- Les Naturels....ils ne sont qu'une race de personne qui à peur de l'évolution des choses et donc de nous les coordinateurs, toutes les guerres viennent de leur peur la plus profonde...devenir faible face à l'évolution des races et à son résulta nous les coordinateurs.

Il se releva et rattacha le col de sa veste puis dit en montrant bien qu'il allait partir:

- Je suis désolé vous aviez l'air très aimable Maria, cependant je ne peut parler à une femme qui aime un assassin, toutes les guerres viennent d'eux
[HRP: tu viens de faire une chose que j'adore dans le RP !!!! Une chose imprévu c'est se que j'aime dans le RP ]

HJ : J'en suis qu'au début, je compte bien me taper le boss... Même s'il a 80 ans xD HJ/

Comprenant enfin la chose qu'elle venait de faire, Maria couru se mettre devant la porte, empêchant Skens de passer par la même occasion.

"Ce n'est pas vrai! Et puis... je... c'est vous... qui..."

Tout doucement, la jeune femme se calma et reprit sa voie habituelle.

"C'est vous qui m'avez demander de qui il s'agissait... Et c'est la stricte vérité, j'aime un naturel, mais ce n'est pas un assassin! C'est... vous... enfin... Je..."

Elle se perdait de plus en plus dans ce qu'elle disait (ce qui venait de la trahir), ne sachant plus trop si elle devait continuer à faire la comédie ou bien défendre d'une certaine manière les siens. Elle même n'étant pas une Coordinatrice, ces mots lui semblaient deux fois plus cruels.

"Vous n'avez même pas connus les deux grandes guerre, comment pouvez-vous?.. Je ne comprends pas!" Dit-elle en se déplaçant sur le côté.

"Quoi qu'il en soit, si vous pensez que, parce que je suis amoureuse d'une personne différente je ne mérite pas votre compagnie, partez! Rien ne vous retiens plus désormais..."

C'était plus fort qu'elle, elle ne pourrait plus continuer à supporter étèrnelement cet individu s'il continuait d'insulter son peuple de cette manière. Mieux valait qu'il parte tout de suite dans ce cas...

Skens la regardait du même regard neutre depuis qu'elle l'avait gifler. Il ne savait pas très bien se qu'il devait faire lui pardonner ou partir pour que cela ne dégénèrent pas plus :

- Je me fiche que vous aimiez un Naturel cela est votre vie pas la mienne

Il continua de la fixer quand d'un coup elle lui demanda pourquoi il parlait des guerres alors qu'il ne savait rien dessus. Il baissa la tête sans dire un mot en essayant de garder son calme au maximum comme si il empêchait une partie de lui de sortir au grand jour. Ses cheveux cachèrent ses yeux qui étaient complétement figer de haine. Il serrait son poing droit et son bras tremblait de rage. Quand il releva la tête son sourire charmeur était de retour il dit alors:

-Mon père était un membre important de l'état major de Z.A.F.T pendant les deux guerres. Mes parents sont mort à cause d'un attenta de Blue Cosmos donc comprenait ma haine pour eux...

Skens n'avait pas fait attention aux preuves qui pouvait trahir Maria car il était dans perdu dans sa colère. Il ajouta alors:

- Je partirais seulement si vous me le demandez...

Il la regarda et attendit sa réponse

Maria fronça les sourcils. Ce qu'il disait n'avait aucun sens à ses yeux. Pourquoi en voulait-il à tous les naturels? Ils ne faisaient certainement pas tous partit du Blue Cosmos, groupe extrémiste qui a pourtant officiellement disparu après la mort de son Leader, suivi par l'arrêstation (et execution) des membres des LOGOS
Il est pourtant vrai que certaines personnes y croient toujours, et en y réfléchissant bien, son camp n'était-il pas un peu semblable? ... Non, c'était différent! Enfin... elle ne connaissait de toute façon pas les véritables intentions de son père, alors comment pourrait-elle le savoir?

"Le Blue Cosmos n'existe plus... "

Elle continua de le regarder étrangement et ajouta calmement :

"Je suis navrée pour ton père, mais penses-tu réelement que seuls les Coordinateurs ont souffert de la guerre? Combien de Coordinateurs extrèmistes ont tué... sauvagement... des..."

Elle ne pu terminer sa phrase car soudainement le mot naturel lui semblait étrange. Comment pouvait-elle prononcer ce mot? Alors que pour elle il s'agissait juste de personnes normales! Comme son père... Comme elle!

"... humains."

Finit-elle par dire.

*Et combien de personnes ton père a-t-il tuer à ton avis? Combien de familles n'ont-elles pas souffert pas sa faute? Y-as-tu déjà pensé?* Se dit-elle intérieurement tout en fusillant du regard Skens.

Skens avait reprit son calme ou plutôt physiquement on ne pouvait plus voire une seule marque de colère. Il lança un nouveau sourire puis ajouta:

- Oui je comprend cependant les coordinateurs extrémistes sont apparu quand ? Quand les Naturels on fait la ......Blood Valentine..... Sans cet acte des extrémistes ne serait jamais arriver et la guerre n'existerait pas entre les Naturels et les Coordinateurs.

Il était toujours droit, on pouvait bien entendu voire que Skens n'était plus très à lèse comme quand il était entrée dans la chambre. Il ajouta alors:

- De plus....je ne crois pas à la destruction de Blue Cosmos il restera toujours des gens qui sont pour la destruction des coordinateurs et donc Blue Cosmos existera toujours. Malheureusement.....

Il baissa la tête non de colère cet fois mais de tristesse ....

Maria s'assit tranquillement sur la chaise de son bureau en croisant les jambes. Son regard était continuellement posé sur Skens qui heureusement semblait s'être enfin calmé.

"Je ne suis pas tout à fait d'accord... Il existait déjà dès les premiers Coordinateurs certains qui méprisaient les naturels. Et puis de toute façon, c'est du passé non? Mieux vaut essayer changer l'avenir plutôt que de se remémorer sans cesse le passé..." Dit-elle posément.

*Jusque quand devrais-je encore jouer à ce petit jeu? Papa... J'aimerai tant te revoir, s'il te plait, appel moi!*

Elle fit semblant de continuer à être attentive à ce que disait le Lieutenant tout en sortant discrètement son gsm de sa poche. Elle fixa celui-ci tristement en repassant à tous les bons moments qu'elle avait passé avec sa famille.

*Si seulement ...*

Voulant se changer les idées, l'espionne se releva d'un seul coup, s'approcha de Skens et lui prit la main sans rien dire. Gentiment, elle serra celle-ci entre les siennes et plongea son regard dans celui de son compagnon.

"J'ai toujours voulu...."

Elle se mit à rougir.

"Aller dans un endroit spéciale... Avec quelqu'un de spéciale... Serais-tu cette personne?"

Skens la regarda en souriant sans faire aucun geste, Il ne savait pas vraiment comment être avec la jeune femme car il avait des positions complétement opposé par rapport aux idées de Maria. Il répondit alors:

- Chaque personne à sa propre idée sur le point de vus des Coordinateur et des Naturels, cela ne sert à rien de parler de cela entre nous nous avons chacun un point de vus différent et c'est se qui fait la démocratie

Il lui lança un nouveau sourire charmeur puis fut de nouveau surpris quand elle lui prit a main. Il fronça les sourcils et dit alors:

- Heuuuu comment sa ? Si je suis cette personne ? Il y à dix minutes tu voulais me foutre à la porte et maintenant tu dis cela ?

Maria rigola un petit peu et lui répondit simplement.

"Je change très vite d'humeur, c'est l'une de mes qualités, mais également un défaut par moment. Quoi qu'il en soit..."

Joyeusement, elle le tira hors de la cabine (il ne faut pas oublié qu'elle est toute de même forte).

"Partons, là maintenant tout de suite! S'il te plait!"

Lui supplia-t-elle en souriant.

Skens qui ne comprenait pas grand chose se laissa trainer en dehors de la cabine sans rien dire. Elle lui demanda de partir avec elle toute suite. Il fronça les sourcils puis demanda tout de même:

- Déjà je suis en pleine affectation donc partir comme cela ferait de moi un déserteur et en plus eu.....pour aller ou ?

Il regarda la jeune femme en souriant

Maria fut fortement déçue par la réponse du Lieutenant.

"Pfff... t'es vraiment pas marrant..."

Dit-elle en lui tournant le dos.

"C'est bon, je trouverai quelqu'un d'autre."

Et sur un coup de tête elle partit plus loin, bye bye....

Skens regarda le jeune femme, elle était très étrange mais vraiment très étrange. Il haussa les épaules puis fit demi-tour en direction de sa propre cabine. Il marchait les mains dans les poches puis dit à lui même:

- Elle était vraiment bizarre cette nana mais très jolie il faut l'avouer

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