CHAPITRE I : Le commencementDans tous les livres d'histoires, Français, Anglais ou autre, on raconte que c'est Marco Polo qui a été le premier à réussir à aller jusqu'en Chine. Et bien moi, je vais vous conter, l'histoire d'un homme étant allé en Chine, bien avant Marco Polo. Il n'en revint jamais, à cause d'une belle rencontre. Je tiens à préciser que cette homme parlais bien sûr la langue Chinoise
. Voici donc : LUDOVIC : l'histoire.
Nous sommes en l'an 200, dans la Chine, plus particulièrement, dans la capital de la région de Bei Ping, la ville avait le même nom que la région, mais, pour plus de faciliter, nous l'appellerons "Bei Fang". Ludovic ce baladait dans la grande rue de Bei Fang, autour de lui, des petites huttes étaient disposées, elles s'étalaient sur bonne distance dans une ligne droite, certaine de ces huttes avaient une pancarte accrocher au dessus de l'entrer, ces huttes s'étaient des magasins de marchands en tous genres. Dans la rue, des paysans et des nobles marchait, entrais et sortais des magasins, ils parlaient entre eux, ce disaient bonjour. Ludovic vit l'entrer de la taverne non loin, il s'y rendit et y entra. La taverne était grande, devant Ludovic était disposé un bar, derrière la bar le tavernier attendais et surveillait les discutions, des tables et des chaises ce trouvais avant le bar et des personnes y était assises et mangeais tranquillement leur repas en discutant et rigolant. Ludovic marcha vers la tavernier et lui demanda de lui servir le plat du jours, le tavernier lui donna une assiettes de céramique ou était disposer le plat du jour, il lui donna aussi un étrange instrument que Ludovic ne connaissait pas, une fourchette. Pendant qu'il mangeait au bar, Ludovic aperçut une dame qui elle aussi mangeait, sur une table. Ludovic demanda au tavernier si il connaissait la jeune dame, la tavernier répondit que oui, c'était la fille du seigneur de la région, le seigneur Lok. Aprés avoir écouté attentivement le tavernier, Ludovic mangea le reste de son plat rapidement, et alla vers la jeune dame, puis; lorsqu'il fût à bonne distance, il dit aimablement:
- Bonjour jeune dame, je m'appelle Ludovic.
La jeune dame, légèrement surprise par cette interruption répondit tout de même gentillement:
-Bonjour gentilhomme, je me nomme Lei, que me vaut l'honneur de vous parlez ?
-Enchanté, je vous regardait depuis le bar, et je me demandais si nous pouvions dîner ce soir, chez votre père ou ailleurs comme il vous plaira, car mademoiselle, je vous très belle. répondit Ludovic aimablement. Sur ces derniers mots, Lei rougit légèrement, elle dit alors :
-Il faudrait que vous alliez demander à mon père, le seigneur Lok, à sa demeure, dites au garde que c'est moi qui vous est dit de rentrer, ils vous laisserons passer.
- Bien, merci d'accepter mon invitation, je m'en vais demander à votre père de suite. Puis il baisa la main de Lei, et sortit de la caverne pour ensuite ce diriger vers le haut de la rue, où le châteaux du seigneur Lok, avait été construit. Lorsqu'il s'en approcha il vit une grande porte en bois, et de chaque coté de celle-ci un garde qui ne bougeai pas. Ludovic s'approcha d'un des gardes et s'exlama :
-Bonjour, je viens demander quelque chose au seigneur Lok, sa fille, c'est Lei qui m'envois.
-Bonjour, très bien, vous pouvez rentrer, mais ne trainez pas trop. Dit le garde d'un ton ferme, puis il lui ouvrit la grande porte de bois. Ludovic entra dans une cours, lonque entouré de 3 coté par des remparts, devant lui, ce dressait le châteaux, une masse énorme de pierre. Des personnes circulaient, des serviteurs apparement en vue de leur tenue. Un des serviteurs qui circulaient dans cette cours salua humblement Ludovic et lui parla d'une voix faible :
-Bonjour, en quoi puis-je vous êtres utile ?
-Bonjour, je cherche le seigneur Lok, je voudrais lui demander une faveur. Répondit Ludovic d'un ton calme.
-Bien, je m'en vais chercher mon seigneur de suite, je vous demande d'attendre un peu. Dit le serviteur d'un ton aimable.
Ludovic attendit quelques minutes, et celui qui semblait être le seigneur Lok, arriva suivit du serviteur qu'avait vu que notre héros. le seigneur Lok fût le premier à prendre la parole:
-Bonjour, je suis le seigneur Lok, que vouliez vous ?
-Bonjour, je suis Ludovic, je viens d'une terre lointaine appelé "France" et j'aimerais, si vous me le permettez, dîner avec vous et votre fille ce soir . IL avait dit tout cela calmement.
-J'accepte volontiers mon cher ! Rendez vous ce soir, au couché du soleil, les gardes vous laisserons entrer, et un de mes serviteurs vous attendra pour vous conduire à ma salle à manger. Répondit Lok content en affichant un large sourire. Puis, il s'en retourna ver son châteaux, et Ludovic sortit de l'enceinte de la cours pour aller ce poser un peu plu loin, contre la muraille coté extérieur.
Ludovic était assis contre la muraille, les yeux fermer et pensant, mais d'un coup, un bruit le sorta de cette états; il entendais une voix d'homme disant :
-Allez ma jolie, je sais que t'as envie de moi, approche que je te fasse un baiser.
-Non ! Laissez moi tranquille espèce de limace ! Cria une voix féminine est apeuré.
-Mais allez viens là ma minette. Dit la même voix d'homme d'un ton ferme et naïf.
Ludovic ce leva, ce dirigea dans la direction des voix et, quand il vu les hommes il dit calmement, tout en continuant de marcher vers eux:
-Vous n'avez pas entendu ? Cette femme ne veut pas de vous.
-Mêle toi de tes affaires si tu ne veut pas avoir d'ennuis. Dit fermement l'homme, et des voix derrière lui rigolèrent à hautes voix, apparemment, c'était le chef d'une bande de bandit. Ludovic était maintenant tous près de la femme et du chef des bandits, il vit alors 5 personne un peu plus loin qui avait l'air menaçant. Mais il dit d'une voix toujours calme:
-Deuxième et dernière fois, laisse cette femme tranquille, ou c'est toi qui va avoir de sérieux ennuis. Le chef et ses acolytes rigolèrent d'une même voix. Puis il dit :
-Nous sommes 5, et toi tu es tout seul..... Il fût arrêté dans sa phrase car Ludovic avait dégainer son katana, et lui mit un coup avec le plat du katana dans la figure, il tomba raide assommé. Ses acolyte dégainairent à leur tour leur katana et ce ruéenrent sur Ludovic en poussant des cris, Ludovic les esquiva facilement puis les assomma un par un. Lorsqu'il furent tous assommer, Ludovic s'adressa aimablement à la femme qui était encore sous le choc :
- Bonsoir, vous allez bien ?
- Euh oui, merci de votre intervention, j'en parlerais à mon seigneur, oui, je suis une servante au châteaux du seigneur Lok. J'apportais ces boissons pour le dîner de ce soir. Répondit t'elle indécise. Puis elle s'en alla vers le châteaux avec ses boissons. Ludovic repartit s'asseoir contre la muraille, il attendit encore un peu, puis quand il vit que le soleil ce couchais, il partit en direction du châteaux. Lorsque les garde le virent il lui ouvrirent la porte sans poser de questions, Ludovic avança alors dans la même cour que toute à l'heure, et vit un serviteur sur les marches d'escalier, Ludovic lui demanda :
-Bonsoir, pouvez vous m'enmenez à la salle à manger du châteaux ?
-Bien sûr honorable visiteur, c'est par là, suivez moi s'il vous plaît. Dit gentillement le serviteur. Le serviteur conduisit Ludovic dans la salle à manger. Ludovic ce trouvais à l'intérieur et contemplait la pièce, les mur de pierres, avaient été recouvert de tapisserie, de tableaux, et des torches en grand nombres était accrochées, au centre, un grand tapi rouge s'étallais, une table un peu moins grande que le tapis était disposé aussi au centre, et des chaises étaient placées de chaque coté de la table, Lok, était assit sur un fauteuil au bout de la table, et 3 nobles étaient aussi assit à la table à divers endroits. Lorsque Lok vit Ludovic, il lui demanda de venir s'asseoir à coté de lui. Ludovic s'asseya donc à coté du seigneur Lok. Lei, sa fille, n'était toujours pas là. Quelques minutes plus tard, elle arriva, habillé d'une longue robe rose foncé, elle salua tout le monde d'un geste polie puis elle s'asseya face à Ludovic, et à coté de son père, mais elle n'adressa pas un regard à Ludovic. Des serviteurs apportèrent le repas et ils mangèrent tous en parlant et rigolants. Lorsqu'il furent au désert, Ludovic ce leva, regarda Lei, et lui dit :
-Belle demoiselle, je voudrais vous épousez. Il ce tourna vers Lok et repris. Mon seigneur Lok, je vous demande la main de votre fille.
-Quelle belle déclaration, mais, avant que je n'accepte, je veut que vous intégriez mon armée, en vu de défendre cette région, et, je veut aussi tester vos capacités, quand tout cela sera fais, alors, je vous accorderais la main de ma fille. Répondit Lok, surpris, mais dans un même temps, content. Lei, quand à elle rougit terriblement, et fit semblant de s'interresser à son désert disposer joliment dans son assiette. 5 minutes après la déclaration de Ludovic, on entendit des cris, des cris de rages, et aussi des cris de peur, Lok ce leva aussitôt et demanda au autre de rester là, pui il chuchota à Ludovic :
-Ma servante m'as parler de vous, elle a dit que vous saviez vous battre, accompagnez moi je vous pris.
- Bien, monseigneur. chuchota à son tour Ludovic.Puis il ce leva et suivit Lok. Ils sortirent du châteaux. Dans la cour les soldats qui gardait normalement la porte étaient rentrer dans les remparts, et des soldats attendaient devant la porte, armes à la mains, LOk demanda au soldat le plus proche :
-Quesqu'il ce passe ici ?
-Nous sommes attaqués monseigneur, 5 cavaliers ouvre la marche, et loin derrière marche les troupes à pieds. S'exclama le soldat d'une voix vive.
-Bien, rester ici avec le reste des troupes, je part devant avec Ludovic. Dit t'il d'une voix qu'il voulait calme.
Le soldat affirma d'un signe de tête et partit. Lok et Ludovic avancèrent et sortirent de l'enceinte. Lok dit alors à Ludovic :
- Cette fois ci, vous aurez le droit de tuer, pas seulement d'assommer. Sur un ton amusé.
Ludovic adressa un large sourire comme réponse à Lok. Ils descendirent la rue que Ludovic avait vus précédement, mais cette fois, la rue était déserte, comme morte, toutes les huttes étaient fermées. Lorsqu'il furent sortit de cette rue, ils aperçurent les cavaliers qui fonçais droit sur eux. Quelque seconde plus tard, les cavaliers étaient très proches et Lok, pris une bêche qui traînais, Ludovic, quand à lui dégaina son katana. Ludovic couru le sabre positionner au dessus de sa tête il sauta entre les deux cavaliers et porta un coup de sabre sur le torse de chacun. Ludovic atterissa agilement par terreet les deux cavaliers, eux, gisait par terre. Lok, quand à lui, fit tomber le cheval d'un des deux cavaliers qui restaient ( il ne lui à pas fait mal, pas d'inquiètude les filles
) le cavalier tomba la tête en avant et ne ce releva pas. Le dernier cavalier fit tourner son cheval et fonça sur Lok, il l'assomma. Ludovic n'avais pas ue le temps d'intervenir, mais le dernier cavalier lui fonça dessu, et ce pris un coup de pied sur le torse de la part de Ludovic, il tomba par terre, fit quelque roulade, et ce releva. Ludovic lui dit d'un ton, qui n'était pas calme, menaçant :
-Je ne souhaitait pas utiliser cette thecnique, malheureusement, tu n'aurais jamais du faire ça. Ludovic laissa tomber son bras droit, le sabre vers le bas, pui il regarda le cavalier en face. Le cavalier fonça sur lui, l'arme à la main, et essaya de lui porter un coup sur le torse droit, il fit son geste, et Ludovic paraissait ne pas avoir bouger d'un sourcil, le soldat ue un large sourir et ce redressa. Ludovic ue un large sourire à son tour et ce retourna, le cavalier tomba raide mort par terre tranché sur tout le long du corps et son sabre brisé en deux. Notre héros alla vers Lok, et l'aida à ce relever, puis Ludovic pris Lok par dessous l'épaule pour l'aider à marcher jusqu'au châteaux. Les troupes qui marchaient au loin firent demis tour et partirent en courant et poussant des cris apeurer. Lok, qui était trop étourdit pour voir le sabre est le cavalier trancher, ne sut pas ce qu'avait fait Ludovic durant son "sommeil". Lorsqu'il furent rentrer dans la cour du château, Lok avait repris ses esprits, et il dit à Ludovic :
-Merci de m'avoir aider, sans vous, je ne serais plus de ce monde. Je voudrais que vous alliez récupérer un des cavaliers encore inconscient, prenez deux soldats avec vous pour aidez.
Ludovic s'éxécuta et revint quelque minutes plus tard avec le corps inconscient d'un cavalier. il l'enmena dans une cellule du châteaux. Lok ordonna à un serviteur d'enmener Ludovic dans sa chambre. Ludovic suivit le serviteur qui le conduisit à sa chambre. Sa allais être une grande nuit pour Ludovic, cela faisait des semaines qu'il dormait à la belle étoile. Il ce déshabilla, et ce coucha confortablement dans le lit. Il était en train de rêver, il était entouré de blanc, et, une voix qui résonnait dit alors :
-Bonjour jeune guerrier, tu as fais preuve de courage, mais la période de paix de ce pays est terminée, une guerre ce prépare. Puis dans un flash, Ludovic ce retrouva au millieu d'un champs de bataille, il était incapable de savoir qu'elle était la raison, et qui s'affrontait, mais c'était une guerre horrible. La voix repris :
-Je te fais dons d'un pouvoir, tu le garderas en toi, et il ce réveillera en temps voulu, seul les êtres généreux, humble peuvent en bénéficier pleinement. Tu es l'élus, celui qui ramènera une fois de plus la paix dans le pays, mais je ne peut t'en dire plus maintenant, adieux.
Ludovic ce réveilla, Lei, était assise à coté de lui et attendais, lorqu'elle vit qu'il était réveillé elle prononça:
-Bonjour gentilhomme, je viens vous informez que nous allons bientôt déjeuner, choisissez les vêtements qu'ils vous plaisent dans l'armoire. Puis elle s'en alla en fermant la porte.
Ludovic ce leva, et regardât ce que contenais l'armoire, il y a avait des vêtements riches, de toutes sortes, Ludovic choisi une tunique pour le torse, et un pantalon de tissu pour les jambes, puis il partit dans la salle à manger. A la différence du dernier dîner, toutes le s places étaient prises, sauf une. Ludovic alla s'asseoir ver la place libre, qui était juste à coté du seigneur Lok, et en face de Lei. Après plusieurs minutes, ils commencèrent à manger, puis à la fin Lok ce leva et prononça fort :
- Chers officiers, vous êtes tous rassemblés ici car j'ai une annonce à faire. Le prisonnier que nous avons interroger nous à révélé des nouvelles biens déplaisantes. Le pays est au bord du chaos, et, tous les seigneurs voisins, veulent conquérir notre territoire. Nous sommes donc en guerre. Je demanderais donc à chacun de vous de préparez ces troupes, nous partons dans 1 semaine, au frontière. Là-bas auras lieu une bataille, inutile de dire que nous devons gagner. Je souhaiterais aussi annoncer l'entrer de Ludovic en tant qu'officier surprème. des "ohh" parcrourèrent la salle, mai Lok repris calmement :
-Vous serez donc tous sous ses ordres, ainsi que lui sous les miens. Vous pouvez disposez.
des murmures entre les différents officiers mais il s'écrienrent au bout d'un temps :
- Vive le seigneur Lok Fang de Bei Ping !
Lok adressa un sourire à ses officiers puis un petit sourire à Ludovic.
Ludovic était nommé officier surpème, il en était content, mais ces responsabilités à assumer allais sûrement lui faire mériter son titre.
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