Auteur: Miriallia
Paring: Miriallia-Dearka
Rating: 13+
Disclaimer: tous les personnages appartiennent à gundam seed et les lieux (personnages aussi)
à Harry potter. Sauf l’intrigue qui est de moi.
Résumé : Nos amis sont élèves à l’école de sorcellerie
Poudlard. Que va-t-il bien pouvoir leur arriver ?
Petite précision : Même si le lieu est poudlard, Harry,
Ron et Hermine ne sont pas du tout dans l’histoire. Des personnages créés par J
- K Rowling seuls les professeurs et fantômes sont présent.
Chapitre 1
POV : Miriallia
Je me trouve dans le poudlard express, Cagalli et moi sommes
sur le point de commencer notre cinquième année à Poudlard l’école de
sorcellerie. Nous faisons toutes les deux partis de la maison Gryffondor, celle
des courageux.
J’étais complètement
tétanisé à mon arrivée au château la première fois. Lorsque le professeur
McGonagall m’a appelé, je n’en menait pas large. Je me souvient encore quand le
choixpeau à fouiller dans ma tête et finalement a crié « Gryffondor ».
J’étais toute excitée et pressée de commencer les cours. Aujourd’hui encore je
suis toute agité. Je me demande comment va se passer l’année.
J’ai déjà revêtu ma robe de sorcière, je
suis tellement impatiente de retrouver l’école. J’aime beaucoup cet endroit, la
tour de Gryffondor qui est si accueillante et bien sûr je peux ainsi revoir mes
amis.
Il faut dire que je
ferais n’importe quoi pour quitter mes parents. Mon père alcoolique nous bat ma
mère et moi dès qu’il est ivre. Ce qui arrive à partir de midi tout les jours.
Ma mère quant à elle considère que tous ses problèmes viennent de moi. Elle ne
voulait pas avoir d’enfants, mon père non plus d’ailleurs. Mais je suis arrivée.
C’est tellement plus simple de rejeter la faute sur moi. Ce n’est tout de même
pas de ma faute si mon père est au chômage, que nous n’avons presque plus
d’argent et qu’il nous frappe ! Du coup je suis la
« cendrillon » de la maison. Je fais toute les tâches ménagères et
autres corvées. Quand j’ai reçu ma lettre j’était tellement contente j’allait
enfin être débarrasser d’eux dix mois sur douze
Et oui je reste à
Poudlard pendant toutes les vacances sauf celles d’été étant donné que l’école
est fermée. Je ne suis pas toute seule, Cagalli, Lacus et Tolle restent aussi.
Ils trouvent toujours
un prétexte pour ne pas partir, un devoir important ou des révisions. Mais je
sais qu’ils ne veulent pas me laisser seule. Je ne leur ai pas parlé de ma
situation familiale. Ils pensent que mes parents travaillent pendant les
vacances et ne peuvent pas me garder avec eux. Cette année nous passons nos
BUSE, brevet universel de sorcellerie élémentaire (je crois.), alors on peut
dire qu’ils ont une bonne raison de rester cette fois-ci.
Je regarde le paysage
défiler sous mes yeux, des collines verdoyantes. Nous sommes loin de la ville
où j’habite. Là-bas tout est gris, terne. Depuis que je suis montée dans le
train je me sens revivre.
« Est-ce que ça va ? Tu es toute pâle.» Remarque
Cagalli.
« Je vais très bien.
_ On ne dirait pas, tu es presque aussi blanche que Nick
quasi sans tête.
_Merci du compliment.
_ Oh mais de rien. C’est tout à fait normal entre amie. Je
dois te dire que tu n’es pas du tout à ton avantage. Heureusement que Tolle est
avec les autres préfets.
_ Toujours aussi mesquine.
_ Je sais, je sais. Je fais de gros effort pour rester
ainsi. »Fait-elle modestement.
Nous éclatons de rire. Je n’ai pas vraiment eut l’occasion
de rire pendant l’été, ça me fait du bien. Cagalli est l’une de mes meilleures
amies depuis ma première année. Ses cheveux blonds mi-longs tombent sur ses
épaules. Ses yeux couleur ambre reflètent sa détermination. Elle parle toujours
franchement, et n’hésite pas à dire les quatre vérités de ses interlocuteurs.
Mais je dois avouer que ça n’a pas toujours été une qualité. Surtout quand le
locuteur en question est Rogue, le professeur des potions. Grâce à notre
charmante amie, Lacus, mon autre meilleure amie, et moi avons aussi écopé de la
punition, qui n’était je dois dire pas très agréable. Nettoyer le vomi et
autres saletés des autres à l’infirmerie est écoeurant. C’est loin d’être une
partie de plaisir. Cagalli a d’ailleurs retenu la leçon et évite de provoquer
l’abominable professeur. Elle est très garçon manqué. Elle n’a peur de rien. Un
peu comme moi même si je suis moins fonceuse. Lacus est l’élément apaisant du
groupe. C’est souvent elle qui règle les problèmes. Il faut bien admettre que
si elle n’était pas là, le nombre de nos retenus serait multiplié par trois (au
moins). Contrairement à nous Lacus est à Serdaigle, sage et réfléchi voilà les
principales qualités des étudiants de cette maison. Des qualités que possède notre
amie c’est indéniable. Mais elle est aussi très courageuse. Avec ses longs
cheveux roses et ses magnifiques yeux bleus, elle est un peu la
« princesse » de l’école. Elle fait tourner la tête de plus d’un.
C’est assez amusant d’ailleurs. Les pauvres n’ont aucune chance, Lacus aime
déjà quelqu’un. Ses activités sont assez diverses. Elle vient d’être nommé
préfète et fait aussi partit d’un groupe de rock (c’est pas trop le style mais
j’avais envie). Sa popularité ne cesse de croître, sans doute à cause de moi
qui n’arrête pas de publier ses photos dans la gazette de poudlard (je viens de
trouver). Et oui je suis la reporter de l’école. Je suis partout où il y a des
nouvelles croustillantes. Je ne me sépare quasiment jamais de mon appareil.
Mais je ne photographie que les sujets intéressants. Je déteste les ragots, je
préfère parler de la coupe de quidditch ou des différentes activités de
l’école.
Le train s’arrête.
Nous arrivons enfin. Cagalli et moi sortons du wagon, nous installons dans une
diligence et nous voilà partit vers le château.
POV Dearka
Ca fait deux mois, deux long mois que je ne l’ai pas vu.
Elle est si belle avec ses cheveux brun, et ses yeux bleues si limpide. Et son
sourire, ah son sourire…
Je viens de passer les portes en chaîne du château. Je
l’aperçois, elle est là, à quelques mètres devant moi, en compagnie de son amie
aux cheveux blonds. Elle m’a manquée. Je la trouve pâle, très pâle. Elle est
malade ? Peut-être devrait-elle aller à l’infirmerie ?
Yzak me parle, je ne l’entend même pas, ou plutôt ne
l’écoute pas.
« Tu n’a pas l’air passionné par ce que je
raconte. » fait-il remarquer.
Il regarde dans la même direction que moi.
« Oh je comprend mieux, se moque t-il. »
« Ce n’est pas se que tu crois.
_ Je ne crois rien du tout. Ce n’est qu’une constatation. Tu
craques pour la jolie Miriallia. »
Je rougi.
« Tu devrais lui parler, qui sait tu as peu être encore
une chance. » Me conseille t-il.
« Oui, je vais lui parler.
_Bonne résolution. »
Elle est installée à la table des gryffondors, je
m’approche. Que vais-je lui dire ? Je me torture l’esprit un bon moment.
Nous sommes à côté d’elle, vite il faut que je dise quelque chose.
« Eh Haw, si tu voyait ta tête, on dirait Mimi
geignarde. »
Non mais quel imbécile. Y’a des fois où je me frapperais
moi-même.
Je suis vraiment un
cas désespéré. Je ne peux pas m’en empêcher, à chaque fois que je la vois, je
dis quelque chose de méchant. C’est comme ça depuis notre rencontre.
Flash Back
Je suis en troisième année. Je vois un élève de première
année un paquet de chocogrenouille à la main. Je m’approche.
« Donne moi ça, un minus comme toi n’en a pas besoin. »
Le garçon est sur le point de fondre en larme.
« Oh, le petit garçon à sa ... »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase. Quelqu’un tire
sauvagement mon oreille.
Je hurle de douleur.
« Alors comme ça on s’en prend à plus petit que soit.
C’est vraiment déloyal. »
Je me retourne et me trouve nez à nez avec Elle.
« Qu’est-ce qui te prend ! Tu veux te
battre ?
_ À ce que je vois, tu n’es pas très courageux ! C’est
très lâche de ta part de t’en à un première année.
_Qui est lâche ? »
J’empoigne sa chemise. Et la plaque contre le mur. Elle se
débat, arrive à m’éloigner d’elle et me met un crochet du droit si puissant que
je me retrouve allongé par terre.
« De mieux en mieux ! Maintenant tu t’en prends
aux filles ! » Me lance
t-elle.
Je la regarde stupéfait. C’est la première fois qu’une fille
me traite de cette façon. D’habitude elles sont toutes à mes pieds. Et là elle
ose me frapper ! Je me relève.
« Sort avec moi. » Ces mots sorte malgré moi.
Elle me regarde,
pensant sans doute que je me moque d’elle. Je m’approche, agrippe son bras et
l’attire vers moi. Je m’apprête à l’embrasser lorsqu’elle me gifle violement.
« Je ne m’intéresse pas aux blondinet arrogant. »
Elle me plante là. Je reste bouche bée au milieu du couloir
pendant plusieurs minutes.
Fin du flash back
Depuis ce jour, je l’observe de loin. Petit à petit elle
occupa toutes mes pensées. Je suis tombé amoureux d’elle.
Yzak me sort de mes pensées.
« C’est ta façon de séduire une fille ? Me
demande t-il ironique. Elle va te tomber dans les bras c’est sûr.
_ Te moque pas. Je suis vraiment un cas désespéré. Y’a
qu’avec elle que je suis comme ça ! Le pire c’est qu’il n’y a qu’elle qui
m’importe. Les autres j’en ai rien à faire. C’est foutu depuis longtemps, elle
me déteste.
_ Je confirme, elle ne te porte pas dans son cœur. Rien
qu’au regard qu’elle t’a lancé ça se voit.
_Tu es là pour m’encourager ou pour m’enfoncé ?
_ Je suis là pour te dire la vérité. Inutile de te voiler la
face. Tu n’as plus aucune chance avec elle. Il faut t’y faire. Trouve toi une
autre fille c’est le seul conseil que je peu te donner. Tu n’as que l’embarra
du choix elle sont toutes folles de toi.
_ T’as raison. Je vais essayer de l’oublier.
Je soupire.